Compagnie Albertine
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La Solitude du mammouth créé au Royal Festival de Spa en août 2017 puis joué au Théâtre des Martyrs à Bruxelles en novembre et décembre 2017, tourne depuis en Belgique et en France.

26-Jan-2024 | 27-Jan-2024 Moulin de Saint-Denis +

COPRODUCTION Albertine | Les gens de bonne compagnie | Festival de Spa. Avec le soutien de l’Atelier-Théâtre Jean Vilar

Le texte de la pièce est publié chez Lansman Editions (2017)

Contact diffusion

Martine Potencier

00 32/ 476.75.94.64

00 33/ 6.81.86.56.74

Régie générale et lumière

Julien Placentino

00 32/ 486.78.65.37

 

 

Synopsis

C’est l’histoire d’une femme de quarante ans qui a consacré toute son énergie à sa famille – elle a deux enfants – et qui voit son mari partir en scooter pour une plus jeune de quinze ans, aux jambes interminables et aux seins généreux. C’est l’histoire d’une femme qui a du mal à avaler ça et qui veut donner une sacrée leçon à son mari en cherchant un mafieux albanais pour arranger le portait de l’homme qu’elle a tant aimé. Finalement, elle se plonge dans les manuels de psychologie et, découvrant les théories de Paul Watzlawick, décide de faire justice elle-même. C’est l’histoire d’une femme pas déprimée du tout qui va rendre impossible la vie du fugueur en scooter.

Un monologue drôle, cruel et déjanté évoquant la colère intérieure, le désir de vengeance, et la faculté de sublimer les émotions les plus profondes. Un spectacle qui ouvre sur le temps, l’art, tout ce qui meurt et la salutaire résilience des êtres vivants.

"Je crois que je suis restée longtemps sans bouger, mouillant le sol glaciaire, pleurant mon mari et tous ces mammouths anonymes qui avaient perdu le combat contre le froid. Et puis, un jour, j’ai arrêté. Pourquoi je ne sais pas. Mais j’ai arrêté de pleurer, j’ai arrêté de rester figée, j’ai arrêté de soupirer. J’ai relevé la tête et j’ai dit : « Ca ne peut plus continuer.» Ce n’est pas vraiment ça que j’ai dit. Ca ressemblait plutôt à un cri préhistorique du genre : «Putain de bordel de Dieu de merde !».

Extraits de presse

Un seul en scène très second degré, incisif, au texte érudit et cathartique. Comme un air de Desperate housewife…
La Libre Belgique, Laurence Bertels

Le jeu théâtral et la mise en scène sont succulents. On ressort rincé et rafraîchi par ce déluge de fantasmes qui déboulent sur scène et dans le texte, à un rythme de révolution cosmique. Bousculant tous les codes, retournant toutes les médailles, faisant feu de la moindre convention, l’écriture est incisive. Le texte se dévide, implacable. La mise en scène des frustrations et des désillusions sonne juste … et la vengeance sur l’estrade sera caricaturale. Une fausse justice fait écho à une cause désespérée !
Demandez le programme, Dominique-Hélène Lemaire

La solitude du mammouth est le récit d’une femme qui refuse d’être laissée pour compte après services rendus, parce qu’une autre « plus consommable » a pris sa place. Elle ne veut pas finir comme ces mammouths dont l’homme a bien profité mais qui furent abandonnés à leur sort lorsque le froid les a menacés. Derrière le rire cruel qu’il génère, ce texte tombe à point nommé, sans le faire exprès. S’il est librement inspiré de la vie de l’auteure, il rencontre largement les questions récurrentes liées au harcèlement et au statut des femmes dans la société.
Moustique, Eric Russon

Dans un décor champêtre, Geneviève Damas commence « piano » pour finir « forte ». Le plaisir du spectateur augmente au fur et à mesure que le décor est planté et que le fil du récit gagne en variation dramatique. Une mise en scène comme un fil tendu entre le rire et le tragique. Des situations rocambolesques côtoient des scènes d’une pure vérité.
Le Suricate Magazine

Drôle et grinçant.
La Voix du Nord, France

L’actrice Geneviève Damas, seule sur scène durant tout le spectacle, est parfaite dans le rôle de cette Bree Van De Kamp version belge. Le ton est juste, tragique avec une pointe d’humour parfaitement dosée. Le texte est d’une grande qualité (…) à voir absolument.
Le Bourlingueur du net

Geneviève Damas joue juste. Elle est portée par un texte efficace, d’un comique impayable. Et les spectateurs rient et, pressés, attendent la suite pour rire encore plus fort
Lettres et Arts de Passeurdularge (France, net)

Contact diffusion

Martine Potencier

00 32/ 476.75.94.64

00 33/ 6.81.86.56.74

Régie générale et lumière

Julien Placentino

00 32/ 486.78.65.37

 

 

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